Vent d'automne.
La saison ciné s'ouvre avec une palme d'or bien méritée pour
Ken Loach qui entremêle, dans
Le vent se lève, petite histoire et Grande Histoire. Des images très fortes, souvent dures, pleines d'émotion, pour filmer au ras des hommes, les années sombres de l'
indépendance naissante (les années 20) et les luttes fratricides (c'est bien le mot) qui endeuillèrent le pays et qui marquèrent, pour Ken Loach, le rendez-vous manqué avec le socialisme irlandais.
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