Cinoche : Source code

Sauver le monde, encore et encore.

On a vu la bande-annonce de Source code moult fois ces dernières semaines qui nous avait bassiné avec le Cap'tain Colter Stevens (alias Jake Gyllenhaal) qui est projeté dans le corps d'un autre, 8 minutes avant l'explosion d'un train de banlieue de Chicago. Il lui faut sauver le monde(1) et désamorcer la bombe qui n'est qu'un prélude à un attentat encore plus meurtrier.
Et bien finalement, malgré un petit air de Déjà vu, le code source de ce polar-thriller-scifi est plutôt bien écrit.
Évidemment c'est pas en 8 minutes que notre héros va trouver la bombe et surtout le terroriste.
Alors il faut le replonger encore et encore dans ces 8 dernières minutes qui précèdent l'explosion.
Un peu façon Le jour de la marmotte.
Tant et si bien que le Cap'tain Colter Stevens commence à se poser des questions (et nous avec bien sûr) sur son rôle dans cette histoire, d'où qu'il vient et où qu'il va et surtout ce que lui veulent les autorités militaires qui le manipulent. Sa mission n'est pas de tout repos et il en a vite marre de mourir explosé encore et encore.
Alors on aura droit (et lui aussi) à quelques rebondissements et retournements qui viennent corser l'affaire.
Amateurs d'attentats déjoués à la Bruce Willis passez votre chemin.
C'est plutôt prise de tête côté scénario scientifique, avec un joli retournement final.
La bluette avec la voisine du train est un peu convenue mais ce qui fait tout l'intérêt du film ce sont, à chaque aller-retour, les dialogues entre le Cap'tain et son officier-traitant : la capitaine Goodwin (Vera Farmiga, toujours aussi craquante même dans son uniforme). Elle ne nous dit pas tout ... mais Jake n'a pas dit son dernier mot envoyé son dernier message.

(1) : il le dit lui-même avec humour d'ailleurs


Pour celles et ceux qui aiment les trains qui explosent.
Pascale a bien aimé. Critikat est plus sévère, as usual.

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