Ambigüité.
Elle s’appelle Chris Pureka.
Oui : c’est bien elle, même si elle a plutôt l’air d’un frêle jeune homme sur de nombreuses photos avec ses allures androgynes de garçon manqué et son prénom équivoque, un ‘genre’ qu’elle semble cultiver en toute discrétion.
Passée cette apparente ambigüité, on est d’abord alpagué par sa très très belle guitare.
Un jeu original, personnel et très présent, chaleureux, vivant et puissant, où pour une fois la voix ne semble être plus qu’un accompagnement, juste un souffle d’humanité au cœur de beaux et sobres arrangements (elle se produit souvent en solo et sans orchestre).
Une voix basse (et androgyne, elle aussi !), discrète, mais qui ne se laisse pas oublier pour autant.
La dame exigeante se produit toute seule, y’a pas plus indépendant(e).
[Landlocked]
It's about that time we start unwinding, any hope we wrapped around
the distant light in the silent conversation that never blossomed into sound
Cause we were hard weather, we were broken hearted, we were always forget-me-nots
We were flash bulbs, we were constellations, and we tried to connect the dots
Notre playliste ici.
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